LISTE DES INTERDICTIONS 2008 STANDARD INTERNATIONAL
Le texte officiel de la Liste des interdictions sera tenu à jour par l'AMA et publié en anglais et en français. La version anglaise fera autorité en cas de divergence entre les deux versions.
Cette liste entrera en vigueur le 1er janvier 2008. LISTE DES INTERDICTIONS 2008 CODE MONDIAL ANTIDOPAGE Entrée en vigueur le 1er janvier 2008
L'utilisation de tout médicament devrait être limitée à des
SUBSTANCES ET MÉTHODES INTERDITES EN PERMANENCE (EN ET HORS COMPÉTITION) SUBSTANCES INTERDITES
S1. AGENTS ANABOLISANTS
Les agents anabolisants sont interdits. 1. Stéroïdes anabolisants androgènes (SAA)
b. SAA endogènes**: androstènediol (androst-5-ène-3β,17β-diol); androstènedione (androst-4-ène- 3,17-dione); dihydrotestostérone (17β-hydroxy-5α-androstan-3-one); prastérone (déhydroépiandrostérone, DHEA); testostérone et les métabolites ou isomères suivants: 5α-androstane-3α,17α-diol; 5α-androstane-3α,17β-diol; 5α-androstane- 3β,17α-diol; 5α-androstane-3β,17β-diol; androst-4-ène-3α,17α-diol; androst-4-ène-3α,17β-diol; androst-4-ène-3β,17α-diol; androst-5-ène- 3α,17α-diol; androst-5-ène-3α,17β-diol; androst-5-ène-3β,17α-diol; 4-androstènediol (androst-4-ène-3β,17β-diol); 5-androstènedione (androst-5- ène-3,17-dione); épi-dihydrotestostérone; 3α-hydroxy-5α-androstan-17- one; 3β-hydroxy-5α-androstan-17-one; 19-norandrostérone; 19- norétiocholanolone.
Dans le cas d’un stéroïde anabolisant androgène pouvant être produit de façon
endogène, un échantillon sera considéré comme contenant cette substance interdite et un résultat d’analyse anormal sera rapporté si la concentration de ladite substance interdite ou de ses métabolites ou de ses marqueurs et/ou tout autre rapport pertinent dans l’échantillon du sportif diffère à un point tel des valeurs normales trouvées chez l’homme qu'une production endogène normale est
improbable. Dans de tels cas, un échantillon ne sera pas considéré comme contenant une substance interdite si le sportif prouve que la concentration de substance interdite ou de ses métabolites ou de ses marqueurs et/ou tout autre rapport pertinent dans l’échantillon du sportif est attribuable à un état physiologique ou pathologique. Dans tous les cas, et quelle que soit la concentration, l’échantillon du sportif sera considéré comme contenant une substance interdite et le laboratoire rapportera un résultat d’analyse anormal si, en se basant sur une méthode d’analyse fiable (par ex. SMRI), le laboratoire peut démontrer que la substance interdite est d’origine exogène. Dans ce cas, aucune investigation complémentaire ne sera nécessaire. Quand la valeur ne dévie pas des valeurs normalement trouvées chez l’homme et que l’origine exogène de la substance n’a pas été démontrée par une méthode d’analyse fiable (par ex. SMRI), mais qu’il existe de fortes indications, telles que la comparaison avec des profils stéroïdiens endogènes de référence, d’un possible usage d’une substance interdite, ou quand un laboratoire a rendu un rapport T/E supérieur à quatre (4) pour un (1) et que l’application d’une méthode d'analyse
fiable (par ex. SMRI) n’a pas démontré que la substance interdite était d'origine exogène,l’organisation antidopage responsable effectuera une investigation complémentaire, qui comprendra un examen de tous les contrôles antérieurs et/ou subséquents.
Liste des interdictions 2008 22 septembre 2007
Quand des analyses complémentaires sont requises, le résultat sera rendu par le laboratoire comme atypique au lieu d’anormal. Si un laboratoire démontre, par l’application d’une méthode d'analyse fiable (par ex. SMRI), que la substance interdite est d'origine exogène, aucune investigation complémentaire ne sera nécessaire et l’échantillon du sportif sera considéré comme contenant une substance interdite. Quand une méthode d’analyse fiable (par ex. SMRI) n’a pas été appliquée et qu’un minimum de trois résultats de contrôles antérieurs ne sont pas disponibles, l’organisation antidopage responsable mettra en place un suivi
longitudinal du sportif en procédant à au moins trois contrôles inopinés sur une période de trois mois. Le résultat ayant déclenché cette étude longitudinale sera rendu comme atypique. Si le profil longitudinal du sportif soumis à ces contrôles complémentaires n’est pas physiologiquement normal, le laboratoire rendra alors un résultat d’analyse anormal. Dans des cas individuels extrêmement rares, la boldénone peut être retrouvée de façon endogène et à des niveaux constants très bas de quelques nanogrammes par millilitre (ng/mL) dans les urines. Quand un tel niveau très bas de boldénone est rapporté par le laboratoire et que l’application d’une méthode d’analyse fiable (par ex. SMRI) ne démontre pas que la substance est d'origine exogène, une
investigation complémentaire peut être menée, comprenant un examen de tous les contrôles antérieurs et/ou subséquents. Pour la 19-norandrostérone, un résultat d’analyse anormal rendu par le laboratoire est considéré comme une preuve scientifique et valide démontrant l’origine
exogène de la substance interdite. Dans ce cas, aucune investigation complémentaire n’est nécessaire. Si le sportif refuse de collaborer aux examens complémentaires, son échantillon sera considérécomme contenant une substance interdite.
2. Autres agents anabolisants, incluant sans s'y limiter: Clenbutérol, modulateurs sélectifs des récepteurs aux androgènes (SARMs), tibolone, zéranol, zilpatérol. Pour les besoins du présent document :
* « exogène » désigne une substance qui ne peut pas être habituellement produite naturellement par l’organisme humain.
** « endogène » désigne une substance qui peut être produite naturellement par l’organisme humain.
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S2. HORMONES ET SUBSTANCES APPARENTÉES
Les substances qui suivent et leurs facteurs de libération sont interdits: 1. Érythropoïétine (EPO); 2. Hormone de croissance (hGH), facteurs de croissance analogues à l’insuline (par ex. IGF-1), facteurs de croissance mécaniques (MGFs); 3. Gonadotrophines (par ex. LH, hCG), interdites chez le sportif de sexe 4. Insulines; 5. Corticotrophines et d'autres substances possédant une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s), À moins que le sportif puisse démontrer que la concentration était due à un état physiologique ou pathologique, un échantillon sera considéré comme contenant une substance interdite (selon la liste ci-dessus) lorsque la concentration de substance interdite ou de ses métabolites ou de ses marqueurs et/ou tout autre rapport pertinent dans l’échantillon du sportif est supérieur aux valeurs normales
chez l’humain et qu'une production endogène normale est improbable. Si le laboratoire peut démontrer, en se basant sur une méthode d’analyse fiable, que la substance interdite est d’origine exogène, l’échantillon du sportif sera considéré comme contenant une substance interdite et sera rapporté comme un résultat d’analyse anormal.
S3. BÉTA-2 AGONISTES
Tous les béta-2 agonistes, y compris leurs isomères D- et L-, sont interdits. À titre d'exception, le formotérol, le salbutamol, le salmétérol et la terbutaline,
lorsqu’ils sont utilisés par inhalation, nécessitent une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques abrégée. Quelle que soit la forme de l’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques accordée, une concentration de salbutamol (libre plus glucuronide) supérieure à
1000 ng/mL sera considérée comme un résultat d’analyse anormal, à moins que le sportif ne prouve que ce résultat anormal est consécutif à l’usage thérapeutique de salbutamol par voie inhalée.
Liste des interdictions 2008 22 septembre 2007
S4. ANTAGONISTES ET MODULATEURS HORMONAUX
Les classes suivantes de substances sont interdites:
1. Inhibiteurs d'aromatase, incluant sans s'y limiter: anastrozole, létrozole, aminoglutéthimide, exémestane, formestane, testolactone. 2. Modulateurs sélectifs des récepteurs aux œstrogènes (SERMs),
incluant sans s'y limiter: raloxifène, tamoxifène, torémifène. 3. Autres substances anti-œstrogéniques, incluant sans s'y limiter: clomifène, cyclofénil, fulvestrant. 4. Agents modificateurs de(s) la fonction(s) de la myostatine, incluant
sans s’y limiter: les inhibiteurs de la myostatine.
S5. DIURÉTIQUES ET AUTRES AGENTS MASQUANTS
Les agents masquants sont interdits. Ils incluent:
Diurétiques*, épitestostérone, probénécide, inhibiteurs de l'alpha- réductase (par ex. dutastéride et finastéride), succédanés de plasma (par ex. albumine, dextran, hydroxyéthylamidon), et autres substances possédant un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s). Les diurétiques incluent : Acétazolamide, amiloride, bumétanide, canrénone, chlortalidone, acide étacrynique, furosémide, indapamide, métolazone, spironolactone, thiazides(par ex. bendrofluméthiazide, chlorothiazide, hydrochlorothiazide), triamtérène, et autres substances possédant une
structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s) (sauf la drospérinone, qui n’est pas interdite). * Une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques n'est pas valable si
l’échantillon d’urine du sportif contient un diurétique détecté en association
avec des substances interdites à leurs niveaux seuils ou en dessous de leurs niveaux seuils.
Liste des interdictions 2008 22 septembre 2007
MÉTHODES INTERDITES
M1. AMÉLIORATION DU TRANSFERT D’OXYGÈNE Ce qui suit est interdit : 1. Le dopage sanguin, y compris l’utilisation de produits sanguins autologues,
homologues ou hétérologues, ou de globules rouges de toute origine.
2. L'amélioration artificielle de la consommation, du transport ou de la libération
de l’oxygène, incluant sans s’y limiter les produits chimiques perfluorés, l’éfaproxiral (RSR13) et les produits d’hémoglobine modifiée (par ex. les substituts de sang à base d’hémoglobine, les produits à base d’hémoglobines réticulées).
M2. MANIPULATIONCHIMIQUE ET PHYSIQUE
1. La falsification, ou la tentative de falsification, dans le but d'altérer l’intégrité
et la validité des échantillons recueillis lors de contrôles du dopage, est interdite. Cette catégorie comprend, sans s’y limiter, la cathétérisation, la substitution et/ou l’altération de l’urine.
2. La perfusion intraveineuse est une méthode interdite. En cas de situation
médicale aiguë, rendant l’usage de cette méthode nécessaire, une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques rétroactive sera requise.
M3. DOPAGE GÉNÉTIQUE
L'utilisation non thérapeutique de cellules, gènes, éléments génétiques, ou de la modulation de l'expression génique, ayant la capacité d'augmenter la performance sportive, est interdite.
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SUBSTANCES ET MÉTHODES INTERDITES EN COMPÉTITION Outre les catégories S1 à S5 et M1 à M3 définies ci-dessus, les catégories suivantes sont interdites en compétition: SUBSTANCES INTERDITES S6. STIMULANTS Tous les stimulants (y compris leurs isomères optiques (D- et L-) lorsqu'ils
s’appliquent) sont interdits, à l’exception des dérivés de l’imidazole pour application topique et des stimulants figurant dans le Programme de surveillance 2008*. Les stimulants incluent :
Adrafinil, adrénaline**, amfépramone, amiphénazole, amphétamine, amphétaminil, benzphétamine, benzylpipérazine, bromantan, cathine***, clobenzorex, cocaïne, cropropamide, crotétamide, cyclazodone, diméthylamphétamine, éphédrine****, étamivan, étilamphétamine, étiléfrine, famprofazone, fenbutrazate, fencamfamine, fencamine, fenétylline, fenfluramine, fenproporex, furfénorex, heptaminol, isométheptène, levméthamfétamine, méclofenoxate, méfénorex, méphentermine, mésocarbe, méthamphétamine (D-), méthylènedioxyamphétamine, méthylènedioxyméthamphétamine, p- méthylamphétamine, méthyléphedrine****, méthylphenidate, modafinil, nicéthamide, norfénefrine, norfenfluramine, octopamine, ortétamine, oxilofrine, parahydroxyamphétamine, pémoline, pentétrazole, phendimétrazine, phenmétrazine, phenprométhamine, phentermine, 4- phenylpiracétam (carphédon); prolintane, propylhexédrine, sélégiline, sibutramine, strychnine, tuaminoheptane et autres substances possédant
une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s). * Les substances suivantes figurant dans le Programme de surveillance 2008 (bupropion, caféine, phényléphrine, phénylpropanolamine, pipradrol, pseudoéphédrine, synéphrine) ne sont pas considérées comme des substances interdites. ** L'adrénaline, associée à des agents anesthésiques locaux, ou en préparation à usage local (par ex. par voie nasale ou ophtalmologique), n'est pas interdite. *** La cathine est interdite quand sa concentration dans l’urine dépasse 5 microgrammes par millilitre
Liste des interdictions 2008 22 septembre 2007
**** L’éphédrine et la méthyléphédrine sont interdites quand leurs concentrations respectives dans l’urine dépassent 10 microgrammes par millilitre. Un stimulant n’étant pas expressément mentionné comme exemple dans cette section doit être considéré comme une Substance Spécifique seulement si le sportif peut établir que cette substance est particulièrement susceptible d’entraîner une violation non intentionnelle des règlements antidopage compte tenu de sa présence fréquente dans des médicaments, ou si elle est moins
susceptible d’être utilisée avec succès comme agent dopant. S7. NARCOTIQUES Les narcotiques qui suivent sont interdits : Buprénorphine, dextromoramide, diamorphine (héroïne), fentanyl et ses dérivés, hydromorphone, méthadone, morphine, oxycodone, oxymorphone, pentazocine, péthidine. S8. CANNABINOÏDES
Les cannabinoïdes (par ex. le haschisch, la marijuana) sont interdits. S9. GLUCOCORTICOÏDES
Tous les glucocorticoïdes sont interdits lorsqu'ils sont administrés par voie orale, rectale, intraveineuse ou intramusculaire. Leur utilisation requiert une autorisation d'usage à des fins thérapeutiques. D’autres voies d’administration (injection intra-articulaire/ péri-articulaire/ péritendineuse/ péridurale/ intradermique et par inhalation) nécessitent une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques abrégée, à l’exception des voies d’administration indiquées ci-dessous. Les préparations topiques utilisées pour traiter des affections dermatologiques (incluant iontophorèse/phonophorèse), auriculaires, nasales, ophtalmologiques, buccales, gingivales et péri-anales ne sont pas interdites et ne nécessitent en conséquence aucune autorisation d’usage à des fins thérapeutiques.
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SUBSTANCES INTERDITES DANS CERTAINS P1. ALCOOL
L’alcool (éthanol) est interdit En Compétition seulement, dans les sports suivants. La détection sera effectuée par éthylométrie et/ou analyse sanguine. Le seuil de violation (valeurs hématologiques) est indiqué entre parenthèses.
• Pentathlon moderne (UIPM) (0.10 g/L)
P2. BÉTA-BLOQUANTS
À moins d’indication contraire, les béta-bloquants sont interdits En Compétition seulement, dans les sports suivants. • Aéronautique (FAI)
• Ski (FIS) pour le saut à skis, freestyle
• Tir (ISSF, IPC) (aussi interdits Hors
• Tir à l’arc (FITA, IPC) (aussi interdits
Les béta-bloquants incluent sans s’y limiter: Acébutolol, alprénolol, aténolol, bétaxolol, bisoprolol, bunolol, cartéolol, carvédilol, céliprolol, esmolol, labétalol, lévobunolol, métipranolol, métoprolol, nadolol, oxprénolol, pindolol, propranolol, sotalol, timolol.
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SUBSTANCES SPÉCIFIQUES*
Les « substances spécifiques »* sont énumérées ci-dessous :
• Tous les béta-2 agonistes par inhalation, excepté le salbutamol (libre plus
glucuronide) pour une concentration supérieure à 1000 ng/mL et le clenbutérol (inclus dans la section S1.2 : Autres agents anabolisants);
• Inhibiteurs de l'alpha-réductase, probénécide;
• Cathine, cropropamide, crotétamide, éphédrine, étamivan, famprofazone,
heptaminol, isométheptène, levméthamfétamine, méclofenoxate, p-
méthylamphétamine, méthyléphedrine, nicéthamide, norfénefrine, octopamine, ortétamine, oxilofrine, phenprométhamine, propylhexédrine, sélégiline, sibutramine, tuaminoheptane, et tout autre stimulant non expressément mentionné dans la section S6 pour lequel le sportif démontre qu’il satisfait aux conditions décrites dans la section S6;
* «La Liste des interdictions peut identifier des substances spécifiques, qui, soit sont particulièrement susceptibles d’entraîner une violation non intentionnelle des règlements antidopage compte tenu de leur présence fréquente dans des médicaments, soit sont moins susceptibles d’être utilisées avec succès comme agents dopants». Une violation des règles antidopage portant sur ces substances peut se traduire par une sanction réduite si le « .sportif peut établir qu’il n’a pas utilisé une telle substance dans l’intention d’améliorer sa performance
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For R&D use only. Not for drug, household or other uses. Click for suppliers of this product. Cas: 1229-29-4 Code: M RTECS: HQ4375000 Code: X Name: DOXEPIN HYDROCHLORIDE Other REC Limits: N/P OSHA PEL: N/P OSHA STEL: N/P Code: ACGIH TLV: N/P Code: ACGIHSTEL: N/P Code: Respiratory Protection: USE SELF CONTAINED BREATHING APPARATUS DURING A FIR
Chapter 9 – Medical management of drug dependence: reducing secondary health harms Provision of healthcare and identification of drug use as a health issue This chapter considers the scope of medical practitioners’ involvement in the reductionof drug-related harm, through the provision of healthcare to people using drugs, andthe identification of users, provision of information, and mon