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27/09/02
ACTIONAID
RAPPORT DE FORMATION SUR LA METHODOLOGIE PARCOURS
/VIH/SIDA
Par Dr Françoise NDAYISHIMIYE
Mr Audace BUDERI
HAITI DU 5 AU 16 AOUT 2002
O. INTRODUCTION


Sur la demande de ACTIONAID HAITI et la République Dominicaine et
avec la facilitation de Madame Linnéa LENTON, Actionaid UK et Actionaid
Burundi ont envoyé deux facilitateurs, Dr Françoise NDAYISHIMIYE et
Monsieur Audace BUDERI, pour appuyer dans la formation des formateurs à
la méthodologie « Parcours », une méthodologie de communication sur le
VIH/SIDA.
Cette formation a été organisée conjointement par Actionaid et Christian
Aid Haiti Elle a débuté le lundi 5 août à GRESSYE par un mot d’introduction
et de bienvenue prononcé par Monsieur Huguenel ALEZI, délégué d’actionaid
et également co - facilitateur. Elle a duré 10 jours pleins sur une période de
deux semaines avec des repos dans les week-ends , ce qui permettait aux
facilitateurs et aux participants de changer de cadre en les passant dans la
capitale, Port- Au- Prince.
Elle a rassemblé des professionnels venant des milieux diversifiés :
Sur le plan méthodologique, les facilitateurs ont eu à adapter le contenu
compte tenu des problèmes prioritaires qui se posent comme facteurs de
propagation du VIH au HAITI et en République Dominicaine. Ils ont eu
également à s’adapter eux- mêmes du fait que les participants ne parlaient
pas la même langue : Les Haïtiens parlant le français et le créole les
dominicains, l’espagnol. Cette situation a amené les organisateurs à prévoir
des interprètes, l’un dans le groupe des hommes et l’autre dans le groupe des
femmes.
Notons enfin que ce séminaire de formation s’est déroulé dans de bonnes
conditions et que les inquiétudes exprimées au début par les participants ont
été levées au fur à mesure tandis que leurs attentes ont été très satisfaites
dans l’ensemble.
I DEROULEMENT DE LA FORMATION.
Avant la formation, les facilitateurs avaient déjà transmis un projet de
programme à l’avance. Dès les premiers contacts avec les participants qui ont
eu l’occasion d’exprimer leurs grandes préoccupations en matière de
propagation du VIH, ces facilitateurs ont été amenés à modifier et le
programme et le contenu en les adaptant aux besoins des participants.
Après l’introduction à la méthodologie parcours, il y a eu présentation des
participants et des facilitateurs. Par la suite les participants ont exprimé
leurs attentes et leurs craintes par rapport à la formation.
Les attentes concernaient essentiellement la maîtrise de l’outil parcours, les
connaissances de base sur le SIDA, l’opportunité d’appliquer le parcours et
de dupliquer la même formation. Pour ce qui est des craintes, les
préoccupations étaient centrées notamment sur la durée longue, aux aspects
pédagogiques et logistiques et conditions de séjour et les conditions
climatiques.
Après avoir analysé toutes ces préoccupations, c’était le moment de
présenter le contenu- programme qui allait être suivi , ponctué de jeux
d’échauffement et d’illustration. Ces jeux font partie intégrante du contenu
dans leur valeur pédagogique et informationnelle.
La formation avait lieu dans deux locaux différents, l’un pour les femmes et
l’autre pour les hommes. Trois rencontres plénières ont été organisées pour
les débats sur des questions sensibles comme la sexualité, le problème de
genre, les déterminants de la propagation de l’infection à VIH la dernière
réunion générale pour une demande particulière à adresser à la communauté
pour opérer un changement de comportement.
Une synthèse générale a été lue par les facilitateurs et commentée par les
participants. La formation a été clôturée par une ébauche de plan de suivi de
l’atelier dans les jours à venir.
I.1 ATTENTES ET CRAINTES DES PARTICIPANTS A LA
METHODOLOGIE PARCOURS

Les attentes

1. Participation active dans la lutte contre le SIDA 2. Avoir les capacités d’appliquer le Parcours dans le travail de la 3. Avoir des connaissances complètes de la méthodologie 4. Avoir une maîtrise des idées principales contenues dans la 5. Profiter des échanges entre deux peuples et les professionnels dans la lutte contre le SIDA avec les facilitateurs qui constituent un troisième peuple. 6. Servir d'outils de communication dans la lutte contre le SIDA 7. Capacités de transmettre des messages SIDA 8. Compréhension du Contenu des messages et de la méthodologie 9. efficacité dans le domaine de la prévention et de la prise en 10. Communication avec les jeunes sur les questions du VIH/SIDA 11. Partage de nouvelles connaissances avec les gens 12. Efficience et limites du PARCOURS 13. Outils pour les femmes dans la négociation des rapports sexuels 14. Acquisitions de nouvelles connaissances
Les craintes émises

1. Risque de ne pas terminer le programme de formation 2. Risque de tomber malade avant la fin de la formation 3. Risque de ne pas pouvoir aider les personnes sourdes et muettes 4. Risque de pas pouvoir capter tout le message si la traduction n’est 5. Risque de manque de concentration à cause de la chaleur et des 6. Risque d’avoir des problèmes de santé et ne pas transmettre les connaissances acquises, une fois la formation terminée. 7. Risque de ne pas pouvoir utiliser réellement et effectivement la 8. Peur que les moustiques ne nous empêchent de dormir. 9. Risque de mourir du SIDA 10. Risque d’avoir des problèmes d’alimentation 11. Risque de manque de suivi après la formation 12. Les tabous risquent de bloquer la mise en œuvre du Parcours 13. Risque des imprévus empêchant de suivre la formation 14. Risque de ne pas pouvoir retransmettre correctement la 15. L’institution risque de biaiser l’efficacité de la méthodologie 16. La soumission et la subordination des femmes risquent de bloquer A la fin de la formation dans la séance sur la revue des attentes et des
craintes, les participants nous ont fait savoir que 95% des craintes ont
été levées, tandis que 94% des attentes ont été atteintes. Les craintes
non levées concernaient les conditions de travail liées au climat (chaleur),
certaines personnes qui ont eu quelques problèmes de santé, les attentes
non atteintes concernaient le suivi de la formation (qui est à analyser
entre ActionAid, Christian Aid et leurs partenaires)

I. 2 SYNTHESE GENERALE DE L’ATELIER.

Cette synthèse a été faite dans le but de faciliter les participants d’avoir
une vue globale du contenu de la formation et des adaptations faites lors de
la formation faite en Haïti.
La méthodologie « PARCOURS » est une méthodologie de communication sur
le VIH/SIDA. Avant de débuter la formation, les facilitateurs ont introduit
la méthodologie en donnant des orientations nécessaires sur le déroulement
de l’ensemble de l’atelier ainsi que les outils utilisés pour l’illustration du
contenu du parcours.
Le Parcours comprend 14 séances qui peuvent se comprendre comme des
chapitres ou comme des modules.
Les 14 séances sont :
1. Séance A : Communiquons ; 2. Séance B : Nos perceptions ; 3. Séance C : Qu’est ce que l’amour ? 4. Séance D : Nos préjugés ; 5. Séance E : Le VIH ; 6. Séance F : Le préservatif ; 7. Séance G : Nos choix ; 8. Séance H : Regarder de plus près : première partie 9. Séance I : Regarder de plus près : deuxième partie ; 10. Séance J : Soyons nos propres soutiens ; 11. Séance K : Sachons nous affirmer ; 12. Séance L : Changer ; 13. Séance M : Sachons travail er ensemble 14. Séance N : Préparons- nous pour l’avenir. Sur le plan du contenu, le Parcours comprend quatre principales composantes : - Nature des interactions et les formes de coopération entre les membres du groupe (4 premières séances : communiquons, nos perceptions Qu’est ce que l’amour et nos préjugés ayant trait à la dynamique de groupe), - Le VIH/SIDA et les comportements sexuels à moindre risque (2 séances - Nos conduites ( 3 séances suivantes à savoir Nos choix, Regarder de plus près et soyons nos propres soutiens), suivies de la première réunion plénière de l’atelier. Les 5 dernières séances qui sont Sachons nous affirmer, Changer, Sachons travailler ensemble et Préparons- nous pour l’avenir déterminent les voies de changement. L’atelier a été clôturé par une réunion plénière au cours de la quelle, nous proposons des voies à suivre. Voici en résumé la synthèse des enseignements contenus dans le parcours. Séance A : Communiquons.
Cette séance met en relief les problèmes de communication laquelle a deux
dimensions : la communication verbale et la communication non verbale. Elle
aide la formation d’un groupe de pairs et les participants à développer leurs
aptitudes d’écoute et d’analyse en matière de communication et de
coopération.
Séance B : Nos perceptions

Au niveau du contenu de la séance, des modifications importantes ont été
opérées sur l’intitulé « Images idéales et images destructrices de la
personne . Ce thème a été remplacé par « Hommes et femmes :l’idéal et la
réalité. ».
Le thème « Etablir les priorités » n’a pas été traité dans cette
séance mais a été reporté pour être rattaché à la séance G « Nos
choix ».
L’enseignement contenu dans cette séance aide les participants à
prendre conscience de l’influence de nos perceptions sur les jugements que
nous portons sur nous mêmes et sur les autres. Mais aussi à faire des choix
judicieux de nos interventions selon l’importance, les urgences et les
capacités que nous avons à agir sur les problèmes.
Le thème concernant « les images liées à la sexualité » a été traité au
cours de la séance E relatif au VIH, après le thème « langage du sexe et
de la sexualité »

Séance D : Nos préjugés.
La séance met en exergue la façon dont les gens pensent avoir des réponses
préétablies face à des situations données. Son objectif est de nous aider à
remettre en question les jugements que nous formulons les uns envers les
autres.
Séance E et F : Le VIH et le préservatif.
Le thème concernant « les images liées à la sexualité » a été traité au
cours de la séance E relatif au VIH, après le thème « langage du sexe et
de la sexualité »
ces deux thèmes ont été complétés par des inputs déjà
reçus des différentes formations faites au Zimbabwe, au Burundi et au
Rwanda. Ainsi en plus des vocabulaires sur la sexualité, nous avons analysé
dans ces thèmes: le corps humains, les parties du corps que nous aimons et
qui nous donnent du plaisir, les parties du corps qui nous gênent, les types de
rapports sexuels, ceux que nous aimons ou que nous n’aimons pas et dans quel
contexte nous ne les aimons pas, les rapports sexuels à haut risque et
moindre risque et sans risque.
Ces séances permettent un échange et une mise à jour et à niveau des
connaissances au sujet du V I H. En mettant en évidence le degré
d’exposition à l’infection en fonction du type de relations sexuelles, la séance
amène les participants à intégrer la notion de « sexe à moindre risque ».
Elle familiarise les participants à une meilleure connaissance et à l’emploi du
préservatif masculin et féminin et à détruire les rumeurs autour du
préservatif qui empêchent son utilisation.


Séance G : Nos choix.
Etant donné que cette séance nous aide à envisager les différents choix qui
s’offrent à nous dans la vie, nous avons pensé y rattacher le thème « Etablir
nos priorités ».
Nous avons pu réfléchir sur les possibilités d’avenir au sein des communautés
haïtiennes et dominicaines.
Séances H et I : Regarder de plus près
Ces deux séances intitulées toutes les deux « Regarder de plus près » sont
en réalité une analyse approfondie des problèmes de société. Elles donnent
aussi lieu à un questionnement sur nos conduites sexuelles.
Séance J : Soyons nos propres soutiens

Etant donné que nous avons vu comment la Société prédéfinit un répertoire
ou un schème de conduites qui peuvent être positives mais aussi négatives
selon l’’ idéal de la société, cette séance nous aide à connaître et à
développer nos substances ou forces présentes en nous pour faire face à
différentes situations qui se posent à nous.
Elle constitue également l’ébauche du processus de changement de
comportement.
Séance K : Sachons nous affirmer.
Cette séance aide les participants à développer les comportements
d’affirmation de soi et de négociation. Ces aptitudes sont mises en évidence
à travers les thèmes « ouvrir le poing, le retour à la maison et dire, moi
je…. »
Séance L : Cette séance nous amène au changement de comportement en
mettant en pratique les nouvel es compétences.
Avant de passer à une nouvelle séance, il y a eu une deuxième réunion
d’atelier avec des tableaux vivants sur le thème « chercher pourquoi ».


Séance M : Sachons travailler ensemble.
Dans cette séance, on nous montre comment des partenaires se
comprennent, se complètent et collaborent dans le travail et s’accompagnent
dans des situations de santé et même dans la préparation à la mort . Ici
l’importance du testament en tant que document garantissant la protection
des biens en faveur des survivants a été soulignée à l’intention des
participants.
Séance N : Demande particulière.

Dans cette séance qui précède la clôture de l’atelier parcours, les différents
groupes de pairs ont eu à préparer et à présenter à la communauté leurs
demandes particulières qui sont en réalité des préoccupations prioritaires
dont ils aimeraient voir trouver une issue
Elle permet de penser donc aux futurs changements et décisions possibles
d’évaluer et de planifier l’avenir par rapport au groupe de pairs.
L’atelier parcours a été clôturé par une dernière réunion communautaire où
différents groupes de pairs ont présenté publiquement leurs demandes
particulières. Celles-ci expriment les priorités identifiées par les
participants.
Dans ce cadre les Hommes ont demandé un dialogue avec leurs épouses, une
compréhension et un sens de réalisme dans la vie conjugale.
Les outils utilisés dans le parcours.
Les outils qui ont été utilisés au cours de l’atelier et qui sont utilisés en
général sont les jeux de simulation les jeux d’échauffement , les flipshart les
mouchoirs, les pénis artificiels, les préservatifs féminins et masculins, les
ciseaux les post it, le papier géant, les clips vidéo ainsi que les guides
d’adaptation du parcours.
N.B. :
- Dans les documents d’adaptation utilisés en Haïti, nous n’avions pas l’adaptation de la « séance langage du sexe et de la sexualité ». Il faudrait qu’on arrive à rajouter ces chapitres qui donnent aux participants des informations complémentaires sur la sexualité et les rapports sexuels à moindre risque. - Pour les institutions qui souhaiteraient répliquer la formation des formateurs, le document de formation et les outils sont ceux là mêmes qu’il faut adapter certainement à l’aide du guide d’adaptation qui montre comment animer une session de formation parcours sans le vidéo. - Pour la formation des membres des communautés, l’on peut le faire mais sur une période longue de 4 à 6 mois et à l’aide des matériaux conçus ou connus de la communauté.
I. 3 PLAN DE SUIVI DE L’ATELIER
Les objectifs du suivi de la formation :
1) Juger du niveau d’utilisation du parcours par les institutions. 2) Identifier les contraintes liées à l’utilisation du parcours. Le suivi participatif de l’atelier de formation impliquera toutes les institutions ayant participé à la formation. La séance sur le suivi de l’atelier a été faite en plénière entre groupe homme et femme. Vu la variété des institutions représentées et les difficultés d’avoir des critères de mis en groupes efficaces lors de la planification, nous avons opté de ne pas faire des travaux de groupe. En effet, les institutions doivent adapter la méthodologie parcours en fonction de leur stratégie d’intervention et de leur philosophie. Il était donc difficile d’élaborer un plan d’action commun compte tenu de la diversité des institutions représentées. Ainsi après avoir fait l’exercice sur les plans d’action individuels, et tenant compte de la contrainte ci-haut mentionnée, des actions de suivi de l’atelier ont été proposées et discutées : Au niveau de chaque institution, les représentants des institutions devraient soumettre un rapport détaillé de la formation en vue de juger de la possibilité d’adopter ou d’adapter la méthodologie parcours. Actionaid se chargera de faire parvenir aux institutions concernées une
proposition de la mission et des objectifs du système de suivi-évaluation à
mettre en place pour le suivi du parcours.
I.4. CONCLUSION

La formation sur le Parcours du 5 au 16 a été une réussite dans sa globalité.
Le lieu de travail était géographiquement adapté pour la bonne concentration
des participants cependant, le climat n’a pas facilité le bon déroulement du
travail.
Le contenu de la formation a beaucoup intéressé tous les participants et, à la
fin de l’atelier, chacun voudrait l’adapter à son milieu de travail, la seule
crainte était la mobilisation des moyens nécessaires pour la vulgarisation et
l’exploitation du Parcours.
Cette formation a démontré que la langue et les frontières ne pouvaient pas
être un handicap au bon déroulement du Parcours car nous avons pu travailler
en trois langues à savoir (le français , le créole et l’espagnol) et avons
travaillé avec des gens venant de deux pays (La république Dominicaine et la
République d’Haïti) et des facilitateurs venant de l’autre côté de l’Océan
(Burundi). La culture n’a pas été un blocage mais plutôt une complémentarité
d’information et des moyens de lutte contre la pandémie du SIDA.
Les formateurs ont été aussi satisfaits du déroulement de la formation et de
la participation des participants. L’équipe de formateurs a été
particulièrement enchantée par le travail des traducteurs.
En conclusion cette formation a été une réussite et une bonne expérience
dans l’histoire des formations « PARCOURS » ? Nous comptons beaucoup sur
Actionaid HRD pour une bonne suivi de la formation.
PROGRAMME DE LA FORMATION
JOUR 1
Introduction sur le Parcours et présentation de la méthodologie
Clip vidéo No 1 : le Parcours
Présentation des participants et des facilitateurs
Les attentes et craintes
Les facteurs favorisant la propagation du VIH
Les règles de base
Confiance et confidentialité
La ligne droite
Les anges gardiens
Main dans la main
JOUR 2
Evaluation
Les secrets du groupe
L’écoute en duo
Le langage du corps
Mimer le mensonge
Point de vue
Homme et femme : idéal et réalité
Salade de fruits
Qu’est-ce que l’amour ?
Assis sur les genoux
JOUR 3
Evaluation
Passer l’image
Prendre des risques
Qui étiquette qui ?
Message confus
Image lies à la sexualité
Le langage du sexe et de la sexualité*
Le feu de brousse
* présentation modifiée par rapport à l’original
JOUR 4
Evaluation
Les faits et sentiments
Brrr et Poucoutou
Les faits et sentiments (suite)
Jeu du papier plie
Utilisation du préservatif : féminin et masculin
Une chose nouvelle

JOUR 5
Evaluation
La toile d araignée
Les possibilités d’avenir
Clip vidéo 4-5 : espoir et craintes des jeunes femmes / jeunes hommes
La jungle
Etablir la priorité
Si j’étais un animal
JOUR 6
Evaluation
Oh Henri
Chercher pourquoi
Clip video No 6: l’alcool
Les bons points de la communauté
Crier chuchoter chanter
Clip vidéo No 7 : les traditions
Toucher du bleu
Clip vidéo No 8: l’argent
Mains contre mains
Rentrer dans l’eau
ECHANGE DES GROUPES HOMMES ET FEMMES
JOUR 7
Evaluation
Rapport de forces
Attaque et esquive
Clip vidéo No 9 : Dire oui
Maîtriser la situation
Le jeu du oui ou non
S entraider pour être à nouveau maître de la situation

JOUR 8
Evaluation
S accorder pour gagner
Clip vidéo No 10 : Dire NON
Ouvrir le poing
Clip vidéo No 11 : Le retour à la maison
Dire : MOI JE
Clip vidéo No 12 : Dire MOI JE
Trois pour une
Comment déjouer les manipulations ?Revenir sur chercher pourquoi
ECHANGE DES GROUPES HOMMES ET FEMMES
Tous en rythme
JOUR 9
Evaluation
Je pars en voyage
Clip vidéo No 13 : faire confiance
Le rand voyage
Clip vidéo No 14 : le rand voyage
Le jeu de la confiance
JOUR 10
Evaluation
Une demande particulière
le grand débat
Clip vidéo No 15 : Défis à la communauté
Répétition de la demande particulière
La revue des attentes de l’atelier
Les préparatifs pour l évaluation a posteriori de l’atelier
Les projets d’avenir
Les cadeaux imaginaires
DERNIERE REUNION COMMUNAUTAIRE PUBLIQUE

Adresses et Références Téléphoniques
Des participants et facilitateurs du Séminaire
sur la méthodologie de communication
« Le PARCOURS »
Gressier / du 5 au 16 Août 2002
LISTE DES PARTICIPANTS
Nom et prénom
Institution Coordonnées
représentée
Recherche et [email protected] d’Actions 335, Route de Bourdon TéL 244-73-32 / 404-89-71 Bourdon/ Rue Tertulien G.#2, Tél :401-7722/245-43-96 [email protected] Sto Dgo Batey canutillo Municipio Quisqueya Saup. Macoris RD Pacot Rue Garoute #431A, Ruelle Beaulieu, Mon Repos 44 Carrefour 510- 5301 /234 -8946/9046 Rue Tertulien Guillebeau #2 Tél 244-40 24/245- 53-30 [email protected] [email protected] Route nationale # 1 Sarthe 45, Rue Hararld #47 Tél 404-0393 /2214076 route des dalles #122 Angle Ruelle Jardines et J.Brown # 41 / Tél 403-5720/223-7377/4158 [email protected] 5 Imp Vieux, Musseau 556-8610 [email protected] 4038/ 257-5502 Rue Lamarre #25 PV Rue Léon Nau #25 PV 4047762 St Louis du Nord, Rue Alexandre Pétion #58 Tél : 268- 58 71 ou 58 72 Rue Gnl Marion [email protected] [email protected] Juan Erazo H 39 Billa Juana 687 2318 Fax 221 83 71 Tél 246 02 93, fax 529-9704 [email protected] sto dgo Rep Dom Tél 688-74-30 fax 689 3532 [email protected] Sagrario dios # 145 Villos Agricolos Sto Dgo Rep Dom Tél 536 89 98 Fax 536 61 54 [email protected] 276 60 13 fax 736 76 89 [email protected] Boite postal #22 Casa Tél 7367245 [email protected] Santiago Rep Dom LISTE DES FACILITATEURS ET CO-FACILITATEURS

Nom et prénom

Qualificatif Institution
Coordonnées
représentée
GIPA Burundi Tél :257 24 3526, Fax : 257 24 3527 Mobile phone : 257 820 91 [email protected], [email protected] 238-1711, Message 245-4460 [email protected]

Source: http://alextechw10.co.uk/steppingstones/downloads/actionaid%20SS%20haiti%20training%20rep%20august%202002.pdf

Microsoft word - are energy drinks harmful

ARE ENERGY DRINKS HARMFU Think that caffeinated energy drink is a healthy afternoon pick-me-up? Some experts disagree and are urging the US Food and Drug Administration (FDA) to require companies to put health warning labels on their energy-boosting drinks. Apparently, the beverages’ high caffeine content may pose a serious consumer health risk, especially for ki

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